Un footing matinal sur la plage ? Un après-midi Tour de France affalé sur le canapé ? Une soirée Foot à encourager Mbappé ? Quels que soient vos projets pour vos vacances d’été, l’heure sera vraisemblablement à la déconnexion au terme d’une année écoulée pour le moins agitée… Voici donc quelques-uns de nos conseils pour partir en congé l’esprit léger !

Savoir déconnecter pour mieux se ressourcer

Parce que le mythe du trésorier moderne hyperconnecté a aujourd’hui du plomb dans l’aile, l’importance de la fraîcheur physique et mentale s’affirme enfin comme une condition essentielle du bien-être au travail et de la performance des financiers.   Ballottés comme bon nombre de Français par les vagues successives de confinement tout au long de l’année, les professionnels de la finance s’apprêtent enfin à se détendre et à se relaxer. Malheureusement, force est de constater que la profession de trésorier peut parfois s’avérer un peu envahissante. Un regain de volatilité sur les marchés, une alerte déclenchée sur la position de liquidité, une macro Excel buggée… Les petits grains de sable susceptibles de troubler le repos du trésorier sont nombreux ! Que la sollicitation inopinée soit maladroitement imposée par un collègue ou que le trésorier soit tout simplement victime du syndrome “FOMO” (Fear of missing out), et incapable de lâcher prise, les vacances tant espérées peuvent vite voir débouler un invité non convié : le stress.

Lâcher le guidon en toute sérénité

Pour laisser le stress au bureau et profiter de vacances zen, plusieurs solutions plus ou moins pertinentes sont généralement proposées au trésorier. Accepter la couverture totale et systématique proposée par votre banquier la veille de votre départ en vacances ? Mauvaise idée. Il est en effet peu probable que cette date soit la meilleure pour couvrir d’un seul coup et sans discernement l’ensemble de vos expositions aux risques. D’ailleurs, si votre conseiller bancaire ou toute autre personne s’aventure à jouer les prévisionnistes, n’oubliez pas de lui rappeler que jusqu’à preuve du contraire : le hasard reste meilleur prévisionniste que les stratèges sur le marché des devises… Former votre collègue ou stagiaire en dernière minute et lui confier votre tableur préféré ? Sûrement un peu risqué… D’une part, car vous ne disposerez peut-être pas du temps nécessaire la veille de votre départ en vacances, et d’autre part, car tout fichier Excel utilisé pour gérer des opérations quelque peu complexes nécessite un temps de prise en main non négligeable.     Stagiaire : “ Salut Michel, désolé de te déranger, ça ne prendra qu’une petite minute, quand j’importe les cours de change du jour, tes formules ne se mettent pas à jour, tu peux m’aider ?” Vous : “ Salut Bianca, Ctrl + H, et tu remplaces les points par des virgules… ”   Plutôt que d’en vouloir à votre banquier (qui ne fait que son boulot) ou à votre stagiaire (qui ne fait qu’apprendre le sien), sachez qu’il existe une alternative efficace : vous doter d’un bon outil. Source de confort dans votre quotidien professionnel et garantie de pouvoir lâcher prise en soirée, le week-end et en congés, un outil spécialisé dans la gestion du risque de change et du risque matières premières vous permet de quitter vos écrans en toute sérénité. Une stratégie de gestion bien paramétrée, quelques alertes minimalistes bien pensées, et pour les plus précautionneux une option d’accès mobile pour parer à toute urgence, et vous voilà prêt à partir en vacances l’esprit léger avec DeftHedge !

N’oubliez pas qu’il est possible de se challengez et découvrez quel gestionnaire de risque de change êtes-vous ?

 

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